Ascendant les parap

Poésille…


il fallutèce l’astérisque rouvée à la voruptacitée par quotage du côté des gramassages scollés… scrollés, décollenés !


Il y avait déshétiquettent les temps de prendre ce qui fut à l’aube de tout un ténébrement, car quand il fallut à retour sentir ce qui sourdait depuis le début, eh bien, nous fûmes perdus.
Oui, ce chat un peu lunaire, cette vénus des monticulaires, cette molaires moléculaire, une dent de vampire qui moustiquait des goûte-moi-sang, sans que, non, l’on n’y puisse ce que ce que ce suit…
Bon, et alors.
Un chat.
Il baillet rond, ronne à l’heure et attend patiement la scienne, la scène, l’ascène, l’abscène, l’assienne, la couenne, dans un cou haineux laineux de noeuds laids nés leuh ? Ce n’est pas une question voyons, alors pourquoi demande-en-je une ? Une dent ? De vampire ? Mais non se dit-il, pire, se quémande-al, ol, el, lu, l’élu des pléthus, des poltrus, des partus, des pontificus d’hybiscus, d’irus, d’espéruce, carapuce-à-l’oreille en çon des pokés…
Poto, le poker, nous ne le provoyions, quand tout ce qu’on fit fut fond de ton frisson, alors fi, non, quoi qu’i suit, c’est li, c’est lu, qu’on lit le frut de tes frits, le ui des maudits, des malduts, des coconuts, des hertz un peu heurtz, un peu coeurts, hurts, mais peurtant, tant à avoir peur de mon entendement aurait-il lentement, hypothétiquement, avancé que peut-être, peuh !
Un chat oui.
Donc un miaou.
Il fait. Miaou.
Et il mie, de pain, en anglais de douleur on dirait du yaourt et pourtant quand il ne pleure… c’est qu’il miaou. Dis-ahou, le chat, dìa où, en spaña daissent… desangent… Dessagent…
Un chat mi, un chat où ?
Par-ci par là ou…
Parti par…
T’y participera non sans retard, petit tétatrd.
Drapartifice.
Sans vampiride.
Des cousinier auraient donc, gastronomisé la crème de l’âcre-aime…


Dot Quote

instant grandissant à l’étrange sentiment des rangements à tranches…

Publié par Rémy Revel

total, généreux, gratuit

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