parce que si les images parlent mieux que les mots… alors les 3 !
parce que…
oui, résumer le propos avec des mots lettrés sur une ligne, ça demande… beaucoup de lignes ! j’en ai déjà pas mal écrit sur le lieu d’une discussion publique et gratuite, ouverte, et surement ancrée dans un temps un peu plus durable que l’année écoulée qui lui sert déjà d’existence sur les 16 pages d’interventions, je glisse un merci aux impliqués…
du coup :
place aux images !
mais tout ceci n’est rien sans un autre propos des conclusions présentées par la Commission Nationale du Débat Publique
la clé :
une autre image, qui n’est qu’en mots dans le travail du CNDP, et que je dessine un peu sur une feuille sale…
où on en est :
prise de conscience ? il serait temps ! après le temps du silence, après le temps de la parole ouverte, viendra le temps de l’action consciente ; certains, tous même, nous à notre manière, combattons ensemble sur ce terrain que nous subissons visiblement par constitution biologique… mais à quand sera-ce officiel que c’est un problème autrement plus insolvable que la liberté politique des genres tend à amener, fort heureusement tout-de-même, c’est de là que se posent ces questions satellitaires qui m’ont amener à trouver ce signal d’alarme opportun…
que faire ?
bin moi mon truc, c’est les idées et les mots… c’est en formulant ce que je réfléchis, que j’agis ; mais chacun mène son combat à sa manière, et c’est fort heureux : escalader un lampadaire seins nus pour la liberté corporelle, je ne peux pas, tout comme je me garde de ne pas céder à des pulsions désaccointantes, sans pouvoir autant empêcher certains de glisser ; je n’évite pas la confrontations de valeurs qui enveniment nos visions dans ce qu’elles veulent s’affirmer, les miennes ont assez blessé sans volonté de le faire, pour que je cerne à peu près pourquoi le sujet est tabou depuis trop longtemps, alors qu’il a plutôt intérêt à se détendre, m’est avis…
d’où qu’il est possible :
- d’agir sans avoir à me rendre des comptes, moi tout ce que je fais je le fais au mien, et je m’en enorgueillis (trop ?)
- de suivre la suggestion évidente du CNDP : lancer le débat publique, mené devant commission pour peut-être, le stimuler un peu dans sa juridiction nationale peut-être pas assez concernée par la sexualité ? moi ma juridiction est autre, sur le web, je fais passer un peu l’info, mais je sais qu’on a tous déjà assez d’implication dans ces questions pour que je n’aie pas besoin de donner des ordres ou des conseils autre qu’une invitation à la réflexion autour de mes images présentes… suggestion
- d’aller échanger des mots écrits assez sérieux sur une sphère sécurisée et amicale, spécialisée dans la pratique de la langue française ! j’y suis ces jours absent, grand bien nous en fasse autant que cette petite larme en coin de l’esprit, sur le Monde de l’Ecriture !
- de faire ce que bon semble à qui veut sur ou sous la question bref… ^^’
des mots pratiques : néoténie, lordose, voméronasal…
retrouver le houleux débat public à cordialité pacificatrice entre gens biens… :
consulter la documentation de la Commission Nationale du Débat Publique :
expérience scriptive 