h2o : Les incomprirent

comme il est facile de se blesser


en poursuivant la justice

je crois que je me suis retrouvé au centre bien douloureux d’un qui pro quo que je ne suis pas sûr de savoir démêler, mais en tout cas quelles que soient mes valeurs divergentes, elles ne se veulent que pacificatrices, quoi qu’en hallucinent…

j’y suis peut-être allé avec un peu trop d’aigreur..


un sujet houleux : l’hypertrophie des orchidées

au début c’était un constat social : on appelle patriarcat toutes les formes de ce que la plupart des société ont en commun : la violence des hommes sur les femmes, et les inégalités qui en découlent…

et puis on s’est questionnés sur le genre, pendant que de mon côté je restais sur la question de fait et non d’étant, qui est qu’aujourd’hui malgré le genre et ses transformations, la biologie du vivant nous enserre encore dans le fait binaire que je nomme ‘scission des entités conceptuelles’, et qui nous prouve encore aujourd’hui qu’on est homme ou femme à partir du moment où l’on est le fruit d’un homme et d’une femme, phénomène de reproduction.

bon, alors il n’y a pas eu beaucoup de place accordée à la parole féminine sur mon fil, je crois que j’en suis la cause involontaire, je peux visiblement paraitre très machiste pour les membres du forum, et je m’excuse de cette part du qui pro quo autant que je me désole de ses effets, mais je suis je l’avoue, assez étranger à la place publique des femmes de mon environnement qui vise cependant la mixité égalitaire

et puis lorsqu’ils ont arrêté de s’acharner sur mon hermétisme à leur débat parallèle, j’ai commencé mon travail non-exhaustif de rassemblement de contenu référencé autant que réfléchi, non pas seulement sur la question psycho-sociale du genre comme ils aimaient à se faire leurs choix éthiques ; mes « solipsismes » sont des témoignages, de ce qui se fait d’un peu trop massivement en la perspective du monde que j’ausculte ; ils peuvent se révéler choquants, ainsi amenés par mon sarcasme dont je tente encore d’apaiser les douleurs

enfin, alors que je semblais dans un nouveau désert de réactions, j’ai réalisé que j’avais trouvé ce que je cherchais :


une preuve factuelle !


commencer là où tout se finit

avec la preuve scientifique référencée depuis les travaux effectués pour la Commission Nationale du Débat Public, j’arrive au ‘nœud’ de mon problème, et là où, je le stipule, tout débute !


le propos alarmant des sciences, et pourquoi elles se placent sur le débat

ce que remarquent ces études biologiques de SVT, pour au moins quelques lycées de Bordeaux, ce que trois facteurs seraient à l’origine d’un changement comportemental de notre évolution, ici retracée jusqu’à la racine lointaine du mammifère, que nous partageons donc, comme leur étude l’illustre, depuis le rat jusqu’à l’hominidé, primate ou non, jusqu’à l’homo sapiens moderne ; ici toute conclusion est purement biologique, et elle est la suivante : trois facteurs modifient les comportement sexués de l’humanité depuis qu’elle se distingue de ses ancêtres généalogiques, et ce depuis la modification des cortex responsables des comportements sexuels :

  • l’affaiblissement du contrôle hormonal
  • la perte progressive de l’organe de jacobson
  • l’altération de la courbure de la colonne vertébrale

tout ceci en causes donc, d’un phénomène d’érotisation de la reproduction : la sexualité humaine


là où je fais des liens peut-être hâtifs mais je pense pas…

en partant d’un constat d’inégalités des fleurs, il est vrai que retomber sur un nouveau écart pourrait passer inaperçu, d’aillurs n’en ai-je pas encore parlé sur cette page, le fait qui peut-être considéré en cause ou en effet comme on veut, mais pas sans lien sûrement avec les problèmes sociétaux de ces inégalités, le fait où je m’alarme :

cette altération biologique influant sur les comportements est plus visibles chez les femmes que chez les hommes !


donc je m’alarme, et pasqu’un peu :

car d’après les seules conclusions biologiques apportées par la science du CNDP, nous assistons à l’inéluctable agrandissement des écarts biologiques de certains facteurs humains sur son comportement, et ce sur le plan de la sexuation :

autrement dit

les hommes et les femmes subissent par l’évolution généalogique de notre espèce, une divergence de constitution structurelle anatomique !

je ne sais pas comment dire qu’on se sépare de plus en plus entre hommes et femmes, quoi qu’on puisse penser des réussites ou échecs des débats sur le genre, et que quand je regarde deux secondes l’histoire patriarcale que l’on se traine depuis qu’on sait la raconter, mais depuis bien après qu’on ait commencé à rassembler les trois items de notre érotisation différée comme le prouve la ville de Bordeaux, eh bien… je m’alarme. Tout simplement


?

Publié par Rémy Revel

total, généreux, gratuit

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